
SNCF Gares & Connexions, partenaire de longue date du festival ImageSingulières met en valeur l'édition 2017 cet été dans la gare de Sète.
Du 24 mai au 11 juin 2017, la neuvième édition du festival ImageSingulières, dédié à la photographie documentaire contemporaine, se tiendra comme chaque année dans différents lieux de la ville de Sète, entraînant les visiteurs, les curieux et les passionnés à la découverte de photographes d’Europe et d’ailleurs à travers un ensemble d’expositions, de projections, d’échanges et d’ateliers.
L’édition 2017 propose un état des lieux de la France et son histoire récente, en présentant notamment les travaux issus des deux projets participatifs que le festival a mené ces dernières années et que SNCF Gares & Connexions vous a fait découvrir en avant première dans ses gares : un passionnant portrait de l’hexagone se dessine avec LA FRANCE VUE D’ICI, exposition des plusieurs centaines de photographies nées de ce projet initié en 2004, et « Jeunes - Générations », qui donne à voir l’ensemble des quinze séries créées à l’occasion de cette commande publique du Ministère de la Culture, copilotée avec le Cnap.
D'autres expositions seront également exposées : Mario Ruspoli, Christophe Agou, Julien Coquentin et Denis Dailleux se sont emparés eux de la thématique « Paysans », entre portraits noir et blanc et documentaires sur la rudesse de la vie agricole, tandis que François Kollar nous dévoile à travers son grand reportage initié en 1931, le monde du travail à la veille du Front populaire. Un hommage est également rendu à Thibaut Cuisset avec « La rue de Paris », ainsi qu’à Pascal Dolémieux, précoce et talentueux photographe des années quatre-vingt.
Cette année, la résidence, autre point d’orgue du festival, a été confiée à la photographe Anne Rearick, originaire de Boston : dans la pure lignée de la photographie humaniste américaine, elle est allée à Sète à la rencontre de l’autre et nous offre aujourd’hui les souvenirs de ses visites.
« La terre de France diverse comme le peuple qui l’habite ». Paul Valéry